miércoles, 11 de agosto de 2010

Nous partageons une classe


Jeudi dernier, on a partagé une classe avec les étudiants du collége El Salvador. Ils sont venus a l Ecole Normale et tous ensemble on a participé a la classe.On a fait les activités proposées par la prof. et puis on a eu l´occasion de piqueniquer.

La chanson:
El Dulce De Leche (Tryo)

Il n’avait pas idée, il n’avait pas conscience
A quel point lui manquait les terres de son enfance
La Cordillère des Andes, les cocottes en papier
Le fumet de la viande, la confiture de lait
Il n’avait pas idée, on dira inconscience
A quel point lui coûtait d’être bloqué en France
Rejoindre le pays, l’odeur de l’orchidée
Le temps n’a pas enfoui, el dulce de leche
Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, j’en doute
Il n’avait pas idée, il n’avait pas conscience
Comme peuvent marquer les blessures de l’enfance
Une larme à Paris, une rose pour Pinochet
Le temps n’a pas enfoui le palais d’Allende
Comme il avait souri en parlant de la France
Il racontât sa vie, ses années de silence
Les tonnelles en fleurs, le sang sur le pavé
Le départ pour l’ailleurs, el dulce de leche
Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, sans doute
El dulce de leche
Il n’avait pas idée, mais c’est sans suffisance
On peut qu’imaginer les parcours de l’errance
Le prenant par la main, eh l’ami on y est
La famille, les copains, la confiture de lait
Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, sans doute
Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, j’en doute

Les Activités

1. Qu´est- ce que vous savez des évenements politiques au Chili dans les années 70 ?
2. Qui était le président ?
3. Comment est-il mort ?
4. Qui a pris le pouvoir ?
5. Sous quel nom on connaît la maison de gouvernement ?
6. Ecoutez l´enregistrement.
7. Soulignez les mots et les phrases concernant le Chili.
8. Qui est le personnage de la chanson ?
9. Pourquoi est-il en France ?
10. Qu´est- ce que lui manque de son pays ?
11. Se sent-il français ?
12. Comment comprenez vous ces phrases ? Quelle est la différence ?
« C´est ça être français, sans doute »
« C´est ça être français , j´en doute ».
13. Regardez le video –clip.
14. Quels sont les éléments de la chanson que vous retrouvez sur le clip ?
15. Ecrivez un paragraphe en utilisant les mots proposés-
enfance- pays- odeur- route-rose –vie-silence-main-ami-famille



  • Il a eu une vie de silence. Pendant son enfance, il a été réfugié dans un autre pays: La France. Il a pris la route vers la paix avec sa famille, en quittant la main de la dictature. On passe le temps, il regrette l'odeur des roses, les cocottes en papier, sa maison, les terres de son enfance ,il lui manque ses amis, ses copains... Il veux retourner.

Iván Formarelli, Stefania Leavi, Emmanuel Villalba y Guillermina Doroni.





  • Je vais voyager dans un autre pays, j´ai dit au revoir et mon ami et ma famille sont restés en silence. Je me rappelle de la vie en Argentine, mon enfance, l'odeur des roses, et les routes de mon pays.

Vanessa Rinaudo, Antonella Dadone, Juan Ignacio Moralejo y Ana Gonzalez Tramontini.


  • La route du silence, la vie sans amis et sans famille, une enfance soumise au silence, de la main de la dictature. Retourner à mon cher pays, retourner à cette odeur spéciale à rose.

Mauricio Viara y Macarena Garro


  • Mon enfance s' est passe dans un pays avec l' adeur de la rose, ma vie a ete comme une route en silence ou je suis passe de la main de ma famille et mon millieur ami.

Maria Noel Perichon y Julieta Cortesini


  • Dans mon enfance je suis allé par la main de mes amis et ma famille, en voyage par la route de la vie. En silence, l'odeur de la rose m'a rappellé mon pays.
Yamila Garro, Maria Zampieri, Maria Ignacia Ganly, Esequiel Llobell, Juan Heidenreich y Emmanuel Zapata.





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